Elles avaient été décidées en janvier, mais leur entrée en vigueur avaient été repoussée pour laisser une chance aux négociations diplomatiques à
Elles avaient été décidées en janvier, mais leur entrée en vigueur avaient été repoussée pour laisser une chance aux négociations diplomatiques à Minsk. Les nouvelles sanctions européennes, décidées à l’unanimité, ont finalement été maintenues.
Si elles frappent désormais des séparatistes ukrainiens pro-russes, elles visent aussi cinq personnalités russes, soit deux vices ministres de la Défense, deux membres de la Douma, le Parlement russe, et un chef adjoint de l‘état-major de l’armée russe.
Moscou a souligné l’“incohérence et l’illogisme” de ces sanctions. Pour le Kremlin, cette décision de l’Union européenne, “qui sera suivie par une réponse adéquate, est contraire au bon sens”.