La force africaine contre Boko Haram passe à la vitesse supérieure

La force africaine contre Boko Haram passe à la vitesse supérieure
Par Euronews avec AFP, Reuters
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Face à la menace des combattants islamistes, plusieurs pays occidentaux ont décidé d’envoyer leurs propres militaires pour perfectionner les soldats

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Face à la menace des combattants islamistes, plusieurs pays occidentaux ont décidé d’envoyer leurs propres militaires pour perfectionner les soldats africains. Le Tchad est le théâtre d’un vaste camp d’entraînement avec des formateurs venus notamment de Belgique, des Etats-Unis, du Canada et du Royaume-Uni.

Un soutien logistique salué par ce soldat qui rappelle que “Boko Haram est une milice de civils et non pas une armée et que les militaires ont selon lui l’avantage de l’expérience”.

Une montée en puissance qui intervient alors que l’armée nigériane a repris à Boko Haram, durant le week-end le contrôle de Baga, située dans le nord-est du pays- Une victoire stratégique. La ville se trouve à la
frontière du Nigeria avec le Tchad, le Niger et le Cameroun et elle sert de base à cette force multinationale autorisée le mois dernier par l’Unité Africaine. Outre les quatre pays précédemment cités, il y a aussi le Bénin.

Une force que l’ONU doit soutenir. C’est ce que souhaite Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères l’a dit hier au président du Niger auquel il rendait visite dans le cadre d’une tournée africaine.

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