Paris, Berlin et Athènes jouent la montre pour un accord sur la dette grecque

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Alexis Tsipras, Angela Merkel et François Hollande doivent à nouveau se réunir, aujourd’hui à Bruxelles, dans l’espoir de faire avancer les

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Alexis Tsipras, Angela Merkel et François Hollande doivent à nouveau se réunir, aujourd’hui à Bruxelles, dans l’espoir de faire avancer les négociations concernant la dette grecque. Le Premier ministre grec serait disposé à réviser certaines des positions formulées hier par son gouvernement. Des propositions jugées insuffisantes par le FMI et les institutions européennes.

“Tout dépend de la contre-proposition grecque que nous avons reçue et qui est actuellement étudiée par nos experts pour voir si elle est suffisante pour parvenir à un accord. Nous verrons donc ce qu’il en est dans les prochaines heures”, a estimé hier le président de l’Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem.

La Commission, elle, se montre plus optimiste en estimant qu’un accord est à portée de main comme le souligne le vice-président de l’exécutif européen. “Il est possible de parvenir à un accord dans les jours qui viennent” “Mais il faut avant tout une volonté politique des autorités grecques, donc moins de tactique, de manœuvres et plus de travail sur la substance”, affirme Valdis Dombrovskis lors d’une conférence de presse au Parlement européen.

Faute d’accord sur les réformes, Athènes ne recevra pas la nouvelle tranche d’aide financière dont elle a besoin avant le 30 juin pour rembourser plus d’un milliard et demi d’euros au FMI.

Avec AFP et Reuters

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