Viktor Orban sur la crise des migrants : "la Hongrie fait son devoir"

Viktor Orban sur la crise des migrants : "la Hongrie fait son devoir"
Par Sandrine Delorme avec Agences
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

A Bruxelles, aux côtés du président du parlement européen, l’Allemand Martin Schultz, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a estimé que la

PUBLICITÉ

A Bruxelles, aux côtés du président du parlement européen, l’Allemand Martin Schultz, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a estimé que la Hongrie jouait son rôle de régulateur et de protecteur des frontières de l’espace Schengen.

“Le problème n’est pas européen, les problème est allemand. Personne ne veut rester en Hongrie, nous n’avons pas de problème avec ceux qui veulent rester en Hongrie. Mais personne ne veut rester en Hongrie, en Slovaquie, en Estonie, en Pologne. Tous veulent aller en Allemagne. Notre job est juste de les enregistrer” s’est-il défendu. Critiqué pour sa barrière en barbelés installée à la frontière avec la Serbie, il a demandé aux députés européens de laisser la Hongrie faire ce qu’elle est obligée de faire.

#Hungary President #Orbán declare #refugeecrisis to a “problem of #Germany“ – his fascist thugs shows them the way pic.twitter.com/82jvJXvivc

— Mark (@markito0171) 3 Septembre 2015

#Orban says Hungary is fulfilling its duty by trying to secure Schengen's external border

— Chris Morris (@BBCChrisMorris) 3 Septembre 2015

Martin Schulz a réexpliqué que l’idée europénne est celle de la solidarité et que ce qu’il voyait était l’opposé.

I reiterated to PM #Orbán that #MigrationEU crisis needs urgent EU-wide #solidarity solution which honours our #humanitarian duty

— EP President (@EP_President) 3 Septembre 2015

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Pour la Hongrie la crise migratoire est un problème allemand

Migration : "Nous avons fait office de pompiers et d'architectes", selon Margaritis Schinas

Selon Charles Michel, "il faut que ce soit extrêmement clair. La vie de chaque civil compte"