Le Prince Ali de Jordanie ne veut pas entendre parler d’un possible report de l‘élection à la présidence de la FIFA. Le candidat à la succession de
Le Prince Ali de Jordanie ne veut pas entendre parler d’un possible report de l‘élection à la présidence de la FIFA.
Le candidat à la succession de Sepp Blatter estime que cela ne ferait que “générer de l’instabilité”.
Il faut, dit-il, que “l’institution aille de l’avant” et maintienne la date du scrutin qui a été fixée au 26 février prochain.
Le problème, c’est que plusieurs de ses rivaux, Michel Platini et Chung Mong-joon, ont été sanctionnés par la Commission d‘éthique de la FIFA.
Et pas sûr que la justice ait le temps d’examiner leurs appels dans les quatre mois qui viennent.
Le Prince Ali, qui dirige la Fédération jordanienne de football, s‘était déjà présenté à l‘élection pour la présidence de la FIFA.
Alors soutenu par Michel Platini, il avait été tout de même été battu par Sepp Blatter en mai dernier.