Une voix reconnaissable qui parlait dans les années 80 d’un hôtel bleu le long d’une autoroute isolée et de jeux truqués avec Helena Christensen qui
PUBLICITÉUne voix reconnaissable qui parlait dans les années 80 d’un hôtel bleu le long d’une autoroute isolée et de jeux truqués avec Helena Christensen qui se roulait dans les vagues… Chris Isaak est de retour après un silence long de six ans avec un nouvel album.
Et il est toujours question d’amour et de solitude au travers de titres enregistrés à Nashville… mais pas forcément country…
Chris Isaak : “Nashville est une ville de musique et pas uniquement de musique country, de tous les types de musique. J‘étais à Nashville et chaque fois que je descendais pour prendre le petit déjeuner à l’hôtel il y avait Robert Plant qui disait “hey Chris” et moi je me disais que tout va bien tant que je suis avec Robert Plant. Je pense qu’il y a un optimisme qui est dans ma musique qui est joyeuse et drôle. Comme je l’ai dit à quelqu’un, on doit pouvoir la mettre sur un disque et l’utiliser en cas de rupture avec sa petite amie ou quand on essaye de nettoyer la maison on doit avoir assez d‘énergie pour les deux.”
A l’approche de la soixantaine le chanteur américain se lance dans une tournée avec la même bande depuis 30 ans maintenant. Une tournée essentiellement aux USA et en Australie.
Chris Isaak : “J’adore voir différent âges dans le public. Quand je vois qu’une personne se trouve là et qu’elle a 80 ans, alors je vais la regarder, et chanter pour elle parce que je suis vraiment content et fier de voir qu’il y a quelque chose dans ma musique qu’elle aime.”