La désapprobation du Congrès américain est condamnée à rester reléguée au rang de symbole. Ce mardi, la Chambre des Représentants, à majorité
La désapprobation du Congrès américain est condamnée à rester reléguée au rang de symbole. Ce mardi, la Chambre des Représentants, à majorité républicaine, a voté l’annulation du plan anti-CO2 voulu par la Maison Blanche. Une réglementation qui, pour la première fois, vise à limiter les émissions de dioxyde de carbone des centrales thermiques américaines.
“Quand on regarde son impact“, lance Steve Scalise,député républicain de Louisiane, “cette proposition du Président Obama représenterait un coût de 29 milliards de dollars par an, qui pèserait sur les familles de la classe moyenne, et les personnes les plus durement touchées seront les ménages les plus modestes“.
Un deuxième vote est venu invalider la réglementation sur les futures centrales. Mais dans deux cas, cette contestation ne sera pas suivie d’effets, puisque Barack Obama s’est engagé à exercer son droit de veto. Des textes en faveur du climat, sur lesquels les Républicains entendent revenir, en cas de victoire à la présidentielle l’an prochain.