A Genève, les négociations entre le régime syrien et l’opposition font du sur place. Les représentants de Damas refusent de parler des grands
A Genève, les négociations entre le régime syrien et l’opposition font du sur place. Les représentants de Damas refusent de parler des grands principes à commencer par le sort de Bachar al -Assad.
L‘émissaire de l’ONU Staffan de Mistura se montre plus positif. La prochaine session, autour des 9 ou 10 avril devrait dit-il permettre des avancées. Selon la feuille de route fixée par l’ONU, ces pourparlers doivent permettre la mise en place dans les six mois d’un organe de “transition”. “J’ai le sentiment que nous avons été en mesure de conclure ces deux semaines sans écart, sans drame, ni discrédit souligne Staffan de Mistura, et potentiellement avec un document qui n’a pas été rejeté par les deux parties et qui peut représenter un accord de principe. Cela signifie que la prochaine fois, nous pourrons discuter des principes et du processus politique”.
Russes et Américains vont pousser pour des pourparlers directs entre le régime et l’opposition, ils veulent accélerer la transition politique en Syrie à la faveur d’un cessez-le-feu en vigueur depuis un mois. Mais le sort du président syrien, question centrale dans le règlement du conflit, n’est toujours pas réglée.
avec Afp