Le service américain controversé se dote d'un Comité de conseil en politique publique. Outre Neelie Kroes, il a recruté de nombreuses personnalités politiques et économiques.
Le très controversé Uber s’entoure de conseillers en politique publique. Parmi eux : Neelie Kroes, ex-vice-présidente de la Commission européennes où elle a été en charge de la concurrence et des nouvelles technologies.
Le service américain de réservation de voitures avec chauffeurs a également débauché l’ancien secrétaire américain aux Transports, Ray Lahood, mais aussi un ex-premier ministre péruvien, une princesse saoudienne et l’ex-président de l’Autorité de la concurrence australienne.
Leur mission : aider Uber à surmonter les réticences nationales à son modèle de développement. Non cotée, la start-up à l’ascension fulgurante est valorisée à plus de 60 milliards de dollars. Son implantation déchaîne souvent la colère des taxis traditionnels qui l’accusent de concurrence déloyale. Le service a d’ailleurs été interdit dans plusieurs pays.