Hiroshima : réactions des Japonais à la visite d'Obama

Hiroshima : réactions des Japonais à la visite d'Obama
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Des dizaines de milliers de Japonais ont suivi en direct le déplacement de Barak Obama vendredi à Hiroshima- une première pour un président américain depuis le largage d’une bombe nuclaire sur Hirosh

PUBLICITÉ

Des dizaines de milliers de Japonais ont suivi en direct le déplacement de Barak Obama vendredi à Hiroshima- une première pour un président américain depuis le largage d’une bombe nuclaire sur Hiroshima en 1945.
Mais 71 ans plus tard, les Japonais restent divisés sur cette visite historique.

blockquote class=“twitter-tweet” data-lang=“fr”>

Barack Obama à Hiroshima : « Il y a 71 ans, la mort est tombée du ciel » https://t.co/BCLrneZVRE via lemondefr</a></p>&mdash; BMEYERFELD (bmeyerfeld) 27 mai 2016

“Je suis très heureuse qu’il soit venu ici, explique Motoko Onoe, de 76 ans, victime de la bombe atomique. “Obama a envoyé un message de paix pour le passé et pour l’avenir. Et il met ses mots en pratique. Et je l’en remercie chaleureusement.”

Quelques centaines de militants anti-nucléaires n‘étaient pas du même avis. Beaucoup réclament des excuses officielles de la part des Etats-Unis. Excuses que le président américain n’a pas formulées.

70 ans après Hiroshima, le Japon aussi doit encore des excuses https://t.co/XZ5tnXSqvR

— Jean-Marie Pottier (@jmpottier) 27 mai 2016

“Je suis totalement contre la viste d’Obama”, témoigne une militante. Elle est convaincue qu’Obama contribue…à la course au nucléaire.

La prolifération des armes nucléaires en Asie reste un vrai sujet de préoccupation au Japon, surtout face à la Corée du Nord. A seulement 780 kilomètres… d’Hiroshima.

Avec AFP et Reuters

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

A Hiroshima, Obama prône "un monde sans armes nucléaires"

Rejet des eaux usées de Fukushima : manifestation devant le bureau du Premier ministre japonais

En espagne et en Pologne, la colère des agriculteurs ne retombe pas