Euro 2016 : la folie du football s'est emparée de la Hongrie

Euro 2016 : la folie du football s'est emparée de la Hongrie
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Cela fait des décennies que l‘équipe nationale hongroise n’avait pas participé à une phase finale de compétition internationale : depuis 44 ans pour l’Euro, et trente pour la Coupe du…

PUBLICITÉ

Cela fait des décennies que l‘équipe nationale hongroise n’avait pas participé à une phase finale de compétition internationale : depuis 44 ans pour l’Euro, et trente pour la Coupe du monde.

Après avoir battu l’Autriche et fait match nul hier contre l’Islande, la Hongrie a encore ses chances d’atteindre les huitièmes de finale. Les matchs sont retransmis sur écran géant dans presque toutes les villes du pays.

“Je pense qu’on avait un fort adversaire. Après l’euphorie du match contre l’Autriche, faire match nul contre l’Islande est un peu décevant, mais c‘était super de voir autant de gens réunis et d’encourager notre équipe ensemble”, dit un supporter.

“C’est trop cool ici, c’est juste notre deuxième jour ici et on adore l’atmosphère, les gens sont fous”, s’amuse un touriste turc.

A Budapest, hier l’ambiance était bon enfant. Au stade Vélodrome de Marseille où se jouait le match, des supporters hongrois ont provoqué des incidents dans les tribunes.

“Comme le prouvent les gens autour de moi, aucun doute, le football unit. Après des décennies d‘échec, beaucoup de gens ont tourné le dos au football en Hongrie. Mais maintenant qu’après 44 ans, l‘équipe nationale hongroise a été sélectionnée pour participer au championnat européen, même ceux qui ne prêtaient pas attention à l‘équipe nationale sont assis devant leur télévision ou dans les fan-zones”, constate Beatrix Asboth, notre correspondante à Budapest.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Macron au Brésil : un renouveau dans les relations entre les deux pays

Les pistes du gouvernement français pour réduire le déficit public

Après l’attentat à Moscou, la peur d’une résurgence du terrorisme dans les pays européens