La sortie en mer est devenue une activité de plus en plus prisée par les enfants du camp de réfugiés de Kara Tepe, sur l‘île grecque de Lesbos.
La sortie en mer est devenue une activité de plus en plus prisée par les enfants du camp de réfugiés de Kara Tepe, sur l‘île grecque de Lesbos.
La chose n’avait pourtant rien d‘évident au départ pour ces enfants, débarqués en Grèce après une traversée en mer dans des conditions souvent périlleuses, et, bien souvent, ne sachant pas nager.
Chaque jour, l’association Lifeguard Hellas encadre entre 50 et 70 enfants.
“Nous sommes là pour les aider à se familiariser avec l’eau”, explique une de ses représentantes, Lia Stavropoulou.
La grande majorité des quelque 1,500 migrants installés au camp de Kara Tepe sont Afghans ou Syriens. Certains ont vu la mer pour la première fois au moment de quitter les côtes turques clandestinement.
Depuis l’accord sur les migrants signé en mars entre l’UE et la Turquie, plus de 50 000 candidats à l’exil se sont retrouvés coincés en Grèce, dans l’attente d’une éventuelle relocalisation.
Avec agences