Un mois après l'entrée en fonction de la nouvelle équipe de Mariano Rajoy, la pression de la rue s'accentue.
Un mois après sa nomination, le gouvernement espagnol est déjà sous la pression de la rue.
Samedi à Madrid plusieurs milliers de personnes ont défilé pour contester la politique de Mariano Rajoy.
Les manifestants critiquent les coupes budgétaires dans l‘éducation et s’opposent aux réformes entreprises sur le marché du travail.
Vendredi le gouvernement s’est engagé à réduire drastiquement son déficit budgétaire mais il relèvera le salaire minimum de 8%, qui passera, en 2017, de 764 à 825 euros mensuels sur douze mois.
Insuffisant, ont déjà répondu les syndicats qui appellent à une grande mobilisation à la mi-décembre.
Avec Agences