L'ex-conseiller à la sécurité nationale de Trump était en contact avec l'ambassadeur russe aux États-Unis.
Le général Flynn a accepté d‘être entendu par le Congrès américain, qui enquête en ce moment sur les interférences russes dans la campagne présidentielle de 2016. A une condition : il réclame une immunité contre toute poursuites judiciaires.
L’ex-conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, qui avait épaulé le milliardaire pendant la campagne, avait été forcé de démissionner le 13 février.
Des révélations faisaient état de contacts répétés entre Michael Flynn et l’ambassadeur russe aux États-Unis.
The letter from Michael Flynn's lawyer, Robert Kelner regarding immunity for testimony pic.twitter.com/ifCs0y1GmO
— Chris Sampson (@TAPSTRIMEDIA) 31 mars 2017
Peu après les élections, un un rapport secret du CIA publié par le Washington Post accusait la Russie d’avoir orchestré une série de cyberattaques pendant la campagne dans le but d’aider la victoire de Donald Trump.
Des enquêtes au Sénat, à la Chambre des représentants et au FBI tentent désormais de définir si l‘équipe de Donald Trump a eu des contacts illégaux avec la Russie.
Selon certains analystes, si Michael Flynn souhaite obtenir une immunité, c’est qu’il craint d‘être poursuivi à la suite de ses auditions.
Mike Flynn should ask for immunity in that this is a witch hunt (excuse for big election loss), by media & Dems, of historic proportion!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 31 mars 2017