16 ans plus tard, l’Italie reconnaît sa responsabilité dans les violences policières commises lors du sommet du G8 à Gênes en 2001.
16 ans plus tard, l’Italie reconnaît sa responsabilité dans les violences policières commises lors du sommet du G8 à Gênes en 2001. Le gouvernement italien s’engage à payer 45 000 euros à six citoyens (qui faisaient partie des activistes anti-mondialisation à s‘être opposé avec les forces de l’ordre), en réparation du préjudice moral et matériel.
L’affaire avait été portée devant la Cour européenne des droits de l’homme qui a salué une « résolution à l’amiable » entre les différentes parties.
Les manifestants ont accusé les carabiniers italiens de les avoir humilié verbalement et physiquement pendant leur détention.
Au cours du G8 de 2001, un activiste avait été abattu lors de l’attaque d’un carabinier, des magasins et des entreprises saccagés et des centaines de personnes blessées lors des affrontements entre la police et les manifestants.
Le mois dernier, le Conseil de l’Europe, a exhorté l’Italie à adopter une loi contre la torture pour prévenir de tels épisodes de brutalité.