Le film de Robin Campillo raconte la génèse du mouvement Act Up, un des fers de lance de la lutte anti-Sida en France
Pour sortir de la torpeur de l‘été et de l’insouciance des vacances, voici un film coup de poing : “120 battements par minute”.
Le long-métrage de Robin Campillo avait bousculé et ému les festivaliers à Cannes en mai, au point de se voir attribuer le Grand Prix du jury.
Il sort ce mercrdi sur les écrans français.
Avec “120 battements par minute”, nous voici replongés au début des années 1990. Le Sida fait des ravages sur fond de méconnaissance et d’indifférence.
Des militants séropositifs créent alors l’association Act-Up pour réveiller les consciences.
C’est cette histoire que le réalisateur Robin Campillo raconte dans son film.
Mai 1983-Septembre 2017 Dans ces deux éditions,
libe</a> parle de Cannes <a href="https://twitter.com/hashtag/ironie?src=hash">#ironie</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/VIH?src=hash">#VIH</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/sida?src=hash">#sida</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/120BPM?src=hash">#120BPM</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/120battementsparminute?src=hash">#120battementsparminute</a> <a href="https://t.co/M5rTFsUHLu">pic.twitter.com/M5rTFsUHLu</a></p>— François Berdougo (
FBerdougo) 21 août 2017