Grève et indignation à Jérusalem-Est

Grève et indignation à Jérusalem-Est
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Par Vincent Ménard
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Magasins et écoles sont restés fermés dans la partie palestinienne de la ville au lendemain de l'annonce de Donald Trump.

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Pas d'affrontements à signaler ce jeudi à Jérusalem-Est, la partie palestinienne de la ville, considérée par la communauté internationale comme un territoire occupé. 

L'appel à la grève générale lancé par les dirigeants palestiniens y a été très suivi. 

Les magasins sont restés fermés, ainsi que les écoles. 

Une manière pacifique de protester contre la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

"Ce que Trump dit ne change rien au cours de l'histoire" dit cet homme. "Jérusalem est une ville arabe et elle le restera pour toujours."

"Qui a donné le feu vert à Trump pour faire ce qu'il a fait avec Jérusalem ?" se demande cette femme. "Malheureusement, je pense que ce sont les dirigeants des pays arabes, par leur silence et leur négligence."

L'armée israélienne a annoncé le déploiement de bataillons supplémentaires en Cisjordanie par crainte de débordements. 

Surtout ce vendredi, jour de grande prière hebdomadaire sur l'esplanade des Mosquées, le troisième lieu saint de l'Islam, situé dans la Vieille ville de Jérusalem, autrement dit à Jérusalem-Est.

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