Croissance mondiale : parfum d'optimisme à Davos

Croissance mondiale : parfum d'optimisme à Davos
Tous droits réservés 
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Le leaders de la planète ont été confortés par les prévisions optimistes du Fonds monétaire international.

PUBLICITÉ

C'est avec un brin d'optimisme que le Forum économique de Davos a ouvert ses portes mardi en Suisse. Les décideurs de la planète ont été ragaillardis par les dernières prévisions économiques publiées par le FMI qui table sur une croissance mondiale de 3,9% dont les pays de la zone euro vont également profiter (2,2%).

Manuel Caldeira Cabra, ministre portugais de l'économie : "Nous constatons déjà cette embellie au Portugal. Nous avons enregistré 2,8% de croissance en 2017 et les prévisions pour 2018 vont encore s'améliorer. Nous avons terminé l'année avec des exportations en hausse de 11,5% ce qui signifie que nos entreprises sont compétitives mais que les marchés mondiaux le sont aussi."

Les économistes restent toutefois prudents. L'embellie pourrait n'être que de courte durée. Le monde n'est pas à l'abri d'une nouvelle crise financière.

Kenneth Rogooff, Université d'Harvard : "Je suis un économiste. Je peux vous parler des risques de la Chine sur Donald Trump concernant l'augmentation des taux d'intérêts mais je pense que le point de départ est que la croissance mondiale sera très bonne. Je ne parle pas des marchés financiers qui sont très haut mais de la croissance mondiale qui devrait être assez solide en 2018 malgré certains risques significatifs."

A court terme, la croissance économique mondiale, sera en partie portée par la récente réforme fiscale de Donald Trump et par un rebond sensible de l'activité dans les économies les plus avancées.

Avec Agences

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

L'élite mondiale réunie à Davos

Pour Volodymyr Zelensky, Poutine est un "prédateur" qui ne se satisfera pas d'un conflit "gelé"

Emmanuel Macron se dit "à disposition de l’intersyndicale", mais pas sur la réforme des retraites