Top 14: Urios regrette d'avoir évoqué un éventuel départ de Castres

Top 14: Urios regrette d'avoir évoqué un éventuel départ de Castres
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Le manager de Castres Christophe Urios regrette d'avoir évoqué mardi la possibilité d'un départ du club en l'absence de "garanties", juste avant une demi-finale de Top 14, a-t-il expliqué vendredi au Parc OL. "J'ai fait une énorme connerie mardi de dire ce que je dis depuis un mois. Parfois cela a été repris justement, parfois non", a déclaré en conférence de presse d'avant-match l'entraîneur tarnais, qui occupe cette fonction depuis 2015 et est sous contrat jusqu'en 2019. "Je suis sous contrat, cela se passe très bien à Castres et j'ai de très bonnes relations avec mon président. Ce n'était pas une erreur de communication. J'avais besoin de dire les choses; mais ça fait deux mois que je les dis", a ajouté Urios. Mardi, l'ancien talonneur avait déclaré: "aujourd'hui, ma priorité est de rester mais j'ai besoin d'avoir des garanties sur l'évolution du club". "Même si on était champion, ça ne changerait rien. Et si je n'ai pas ces garanties, je quitterai le club. La clé ce n'est pas moi qui l'aie, c'est M. Revol", le président du club, avait insisté le champion de France 1993. Pierre-Yves Revol avait évoqué le sujet un peu plus tôt: "Christophe avait pour ambition, quand il a signé pour 4 ans, d'essayer d'être champion. S'il l'est un an plus tôt, peut-être aura-t-il envie d'aller voir ailleurs avant. Quoi qu'il arrive, ça se passera bien entre nous". Castres affronte samedi (16h45) le Racing 92 pour une place en finale à laquelle il a participé pour la dernière fois en 2014.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Riner, Malonga et Tolofua en finale au Grand Slam d'Antalya

Grand Chelem de Judo d'Antalya : un podium dominé par la Corée du Sud et l'Autriche

Grand Chelem de Judo d'Antalya : Hifumi et Uta Abe dominent le podium