Top 14: Fickou avait envie de "voir autre chose" en signant au Stade Français

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"J'avais envie de voir autre chose": depuis Auckland où il est en tournée avec le XV de France en Nouvelle-Zélande, le centre ou ailier Gaël Fickou a commenté lundi pour la première fois sa décision de rejoindre la saison prochaine le Stade Français après six saisons passées à Toulouse. "Je voulais du renouveau. Je n'avais connu que Toulouse (en pros, où il est arrivé en 2012 en provenance de Toulon, NDLR), où j'ai passé de merveilleuses années, mais j'avais envie de voir un autre fonctionnement" a déclaré Fickou à la presse. Après avoir "failli il y a deux ans partir à Toulon ou Montpellier", il a décidé de franchir le pas cette saison, un an avant le terme de son contrat, également parce que certains des Toulousains dont il est proche quittent le club: Doussain va à Lyon, Maestri au... Stade Français, tandis que Fritz arrête sa carrière. Il se dirigeait pourtant initialement vers le Racing 92. "Mais au fur et à mesure, le Stade Français est entré dans la danse. J'ai discuté, quasiment tous les jours, avec Heyneke (Meyer, le Sud-Africain futur manager du club parisien), avec qui j'ai vraiment eu le feeling, de la façon dont il voulait travailler, du projet qu'il allait mettre en place", a raconté Fickou (24 ans, 36 sélections), dont la dernière année de contrat a été rachetée pour une somme estimée à 700.000 euros environ. "C'est un projet costaud, avec beaucoup de joueurs français" a-t-il développé, impatient de travailler "autrement" avec "un entraîneur étranger, un staff étranger". "Peut-être que ça va me faire grandir, je l'espère. Même si (Ugo) Mola et (Guy) Novès (ses précédents entraîneurs à Toulouse) m'ont apporté de très bonnes choses", a poursuivi Fickou. S'il a été séduit par l'ancien technicien des Bulls et sélectionneur de l'Afrique du Sud, l'entraîneur des arrières parisiens Julien Dupuy l'a également "convaincu par sa façon de penser et son côté humain". Avant que la décision de Maestri de rejoindre Paris, au lieu de La Rochelle où il s'était engagé, ne fasse "basculer" son choix. Conscient de se "mettre en danger" en rejoignant le 12e du dernier Top 14, Fickou a estimé que le jeu en valait la chandelle: "Dans la vie, il faut vivre à fond. Je n'ai que 24 ans, qu'est-ce qui peut m'arriver de mal? A moi de m'entraîner, d'être sérieux".

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