Décès de Goolaerts sur Paris-Roubaix: pas de stupéfiants, selon les premiers examens

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Les premiers examens toxicologiques n'ont pas révélé la présence de stupéfiants chez le coureur belge Michael Goolaerts, décédé à 23 ans lors de Paris-Roubaix, a-t-on appris mardi auprès des autorités judiciaires, ce qui confirme pour l'heure la thèse de la mort subite. "Il n'y a rien de particulier. Ce sont des résultats négatifs. Aujourd'hui, nous n'avons aucun élément qui nous oriente vers autre chose qu'une mort subite, par arrêt cardiaque", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Cambrai (nord), Rémi Schwartz. Le magistrat s'est appuyé sur la base des résultats des premiers examens toxicologiques de référence, réalisés systématiquement dans les enquêtes pour recherches des causes de la mort. "Il n'y a pas d'alcool, il n'y pas de stupéfiants et il n'y a pas de médicaments autres que ceux qui ont été utilisés lors de la réanimation", a-t-il précisé, confirmant une information de la chaîne France 3 Hauts-de-France. Des analyses toxicologiques plus larges et des analyses anatomopathologiques - examens au microscope des tissus cardiaques qui devraient confirmer l'arrêt cardiaque selon le procureur - sont en cours. Le 8 avril, Michael Goolaerts avait été retrouvé inanimé sur le deuxième des vingt-neuf secteurs pavés de Paris-Roubaix (257 km), près de Viesly (Nord). Il avait été héliporté vers un hôpital de la ville de Lille (nord), où il est décédé dans la soirée. C'était sa première participation à cette course. L'autopsie réalisée quelques jours après avait confirmé l'hypothèse privilégiée du malaise cardiaque provoquant sa chute.

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