Lavillenie: "Les feux sont plutôt au vert"

Le perchiste français Renaud Lavillenie, le 21 juillet 2018 à Londres
Le perchiste français Renaud Lavillenie, le 21 juillet 2018 à Londres Tous droits réservés Ian KINGTON
Par AFP
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Qualifié pour la finale des Championnats d'Europe en compagnie des deux autres Français Axel Chapelle et Alioune Sene, le recordman du monde du saut à la perche (6,16 m) Renaud Lavillenie, arrivé à Berlin avec des soucis au genou et en quête d'un 4e titre continental, s'est plutôt rassuré vendredi.

Q: Il y aura trois Français en finale dimanche...

R: "Oui, c'est bien. On avait un petit peu d'inquiétude concernant Alioune (Sene, ndlr) qui revenait d'une blessure et ses dernières sorties n'étaient pas concluantes. Mais il a montré qu'il était bien et il est allé chercher son petit billet pour la finale. C'est cool, c'est une bonne chose."

Q: Quelles ont été vos sensations à titre personnel?

R: "Physiquement, mes sensations ont été plutôt bonnes. Je n'ai pas eu trop de gênes avec les genoux, donc je suis assez content par rapport à ça. Je n'ai pas pu faire ce que je voulais à 100% comme je l'aurais aimé parce que les conditions étaient pourries avec du vent instable et c'est difficile de se lâcher dans des conditions pareilles. Cela ne servait rien de faire tout et n'importe quoi. L'objectif était de prendre le billet pour la finale et on sait que ce sera différent dimanche. Dans l'ensemble, les feux sont plutôt au vert et faire les qualifs comme ça, c'est toujours mieux que de passer au dernier essai en étant stressé et en attendant le résultat des autres. Maintenant on va entrer tranquillement dans la préparation de la finale."

Q: Il y a un besoin urgent de médailles pour les Bleus...

R: "Qu'on ait 25 médailles ou 3, ça ne changera rien pour moi. Si j'en ai une, ce sera bien et si je n'en ai pas, ce ne seront pas les médailles des copains qui me feront du bien. Après, ce n'est pas parce qu'on n'a pas de médailles que l'on n'est pas bon et que l'on ne fait pas ce qu'il faut. Il faut rester réaliste, il y a eu des années où l'équipe de France a marché sur l'eau mais parfois il n'y a pas que les médailles qui comptent. Et ce n'est pas parce qu'il n'y a pas beaucoup de médailles pour l'équipe de France que je vais avoir une motivation supplémentaire. Je l'ai déjà, quoi qu'il arrive."

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