Les New-Yorkais retrouvent leurs musées fétiches : après le MoMA, le Met

Metroplitan Museum of Art, New York.
Metroplitan Museum of Art, New York. Tous droits réservés Mark Lennihan/Copyright 2020 The Associated Press. All rights reserved
Tous droits réservés Mark Lennihan/Copyright 2020 The Associated Press. All rights reserved
Par Euronews avec AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Le Metropolitan Museum of Art a rouvert ses portes samedi. Mais comme le MoMA, il doit s'astreindre à des règles strictes.

PUBLICITÉ

Pour les amateurs de musées de New York, fini la disette. Après six mois de fermeture, méditer devant un Monet ou un Picasso ou tournoyer autour d'une statue de Giacometti est possible. Le MoMA a rouvert ses portes cette semaine. Que du bonheur, parole de connaisseuse…

« J'ai aimé voir les tableaux de deux de mes artistes préférés... Pablo Picasso et Georges Seurat », confie la jeune Eliana.

« Dès que j'ai su qu'il allait rouvrir, j'ai acheté des tickets car je me suis dit : il faut sortir , renchérit sa maman. Et ça a été une belle expérience. »

Le Metropolian Museum of Art a lui aussi rouvert ses trésors au public, mais à un public restreint. Les musées de la « grosse pomme » sont soumis à des règles strictes : port du masque, prise de température, réservation de créneau horaire, sens de visite imposé et surtout une capacité d'accueil plafonnée à 25 %. Pour son premier jour d'ouverture, le Met s'est donc limité à moins de 10 000 visiteurs au lieu des 30 000 à 40 000 qui affluent les samedis en temps normal.

La pandémie a lourdement pesé sur les comptes de cette institution New-Yorkaise, bien plus dépendante de la vente de billets que les musées européens. Le manque à gagner sur 18 mois est estimé à 150 millions de dollars.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

No Comment : Messi à l'honneur sur une fresque géante à Miami

Allemagne : un musée dédié aux plats les plus dégoûtants du monde

De la peinture sur la dernière fresque londonienne de Banksy