En Pologne, les manifestations se poursuivent suite à la décision il y a un mois du Conseil constitutionnel d'interdire l’interruption volontaire de grossesse en cas de malformation grave du fœtus.
Elles défendent leur droit à choisir l'avortement. En Pologne, les manifestations se poursuivent suite à la décision il y a un mois du Conseil constitutionnel d'interdire l’interruption volontaire de grossesse en cas de malformation grave du fœtus.
Une cause qui représente la très grande majorité des IVG ce qui, pour ces manifestants, s'apparente à une quasi interdiction de l'avortement.
Seuls sont autorisés les IVG en cas de danger de mort pour la femme enceinte et en cas de grossesse résultant d’un viol ou d’un inceste.
La Pologne, pays très catholique, dirigé depuis cinq ans par un parti ultra-conservateur, est régulièrement pointé du doigt en Europe pour non respect de l'Etat de droit. Sa législation sur l'avortement était déjà l'une des plus restrictives d'Europe.