Covid-19 : le point sur la pandémie en Europe

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Potentiel déconfinement en Allemagne, situation relativement stable en France, nouvelle quarantaine au Royaume-Uni.

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L'Allemagne évalue la possibilité d'assouplir les mesures de restrictions liées à la pandémie de Covid-19. Le taux d'incidence est à la baisse et la pression se réduit sur les services hospitaliers. Une réunion cruciale est prévue le 10 février, d'ici là tout dépendra de l'évolution du taux de vaccination et du degré de circulation des nouveaux variants.

"J'ai dit au début de l'hiver que ce serait la période la plus difficile pour nous, et c'est comme cela que ça s'est passé", a commenté la chancelière allemande, Angela Merkel. "Et pourtant, nous pouvons le dire : la crête de la deuxième vague est passée. Nous devons maintenant tenir un peu plus longtemps, puis les vaccinations vont être de plus en plus fréquentes et la charge des hôpitaux sera bientôt réduite car les personnes âgées ne seront plus aussi touchées. Je peux donc voir une lumière briller au bout du tunnel, mais c'est une période incroyablement difficile".

En France, à l'inverse, le gouvernement ne prévoit pas d'assouplissement immédiat des restrictions, ni de nouveau confinement.

Ce mercredi soir, le Premier ministre Jean Castex a assuré que l'ensemble des résidents en Ehpad seraient vaccinés d'ici la fin de semaine, s'ils sont volontaires.

Les Pays-Bas sont devenus le dernier pays en date à limiter l'usage du vaccin AstraZeneca aux plus de 65 ans. Manque de documentation et d'informations pour cette catégorie d'âge. Ils rejoignent ainsi la France, l'Allemagne ou encore l'Italie.

Au Royaume-Uni, où plus de 10 millions de doses de vaccins ont déjà été administrées, les autorités vont obliger les résidents et ressortissants britanniques à dix jours d'isolement lorsqu'ils revienent de pays très touchés par les différents variants. Ils devront se confiner à l'hôtel dès le 15 février et seront même accompagnés pas des agents de sécurité pour toute sortie à l'extérieur.

La stratégie vaccinale des autorités britanniques a été confortée par les résulats d'une étude ces derniers jours. Depuis décembre, Londres a décidé d'administrer une première dose à la population la plus large possible, quitte à retarder la seconde injection. Une première dose qui selon les chercheurs permettrait de réduire de 67% le taux de test pcr positif.

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