Le monde célèbre le passage en 2022 avec des festivités restreintes et partout sur la planète les dirigeants forment le vœu que nous entrons dans la dernière année sera celle de la fin du Covid-19.
Mesure exceptionnelle contre la pandémie : la place rouge était vide à minuit pour le passage en 2022.
Un peu partout dans le monde, les festivités ont été réduites et les rassemblements restreints pour tenter de freiner les contaminations.
Le cap symbolique du million de nouveaux cas quotidiens dans le monde a été franchi quelques heures avant la fin de l'année 2021.
À Athènes, le traditionnel feu d'artifice du Nouvel an a malgré tout eu lieu au-dessus de l'Acropole alors qu'à Berlin, la police avait demandé aux Allemands de ne pas se rassembler Porte de Brandebourg où un concert a eu lieu sans public avant que le spectacle de son et lumière ne marque la nouvelle année.
Dans la soirée, le président Emmanuel Macron a présenté ses vœux et s'est déclaré "résolument optimiste" en espérant que 2022 soit "l'année de sortie de la pandémie."
Rassemblement limité également à Madrid où les autorités n'avaient autorisé qu'un maximum de 7 000 personnes sur la Puerta del Sol qui d'ordinaire en accueille 20 000.
Malgré un record de 32 000 contaminations, l'Australie a maintenu les célébrations du Nouvel an.
Comme chaque année, des milliers de feux d'artifice ont été tirés dans le ciel de Sidney au-dessus du célèbre pont de l'opéra.
Quelques milliers de Taïwanais sont rassemblés à minuit à Taipei où dans ses vœux la présidente s'est adressés aux autorités chinoises pour les inviter à éviter tout "aventurisme militaire".
De son côté, Bangkok a maintenu son feu d'artifice et tenté de ménager le secteur du tourisme.
Enfin, Dubaï est resté fidèle à la démesure de son Nouvel An avec 36 feux d'artifices qui ont embrasé la ville sur 29 sites différents et notamment sur les 828 mètres de hauteurs de la tour Burj Khalifa.