Dans les environs de la capitale Lagos, samedi 18 mars, les habitants d’un bidonville déclarent avoir “perdu tout espoir”, alors que des forces de sécurité ont, la veille, tiré des coups de feu et usé de gaz lacrymogène pour permettre à des bulldozers de détruire leurs logements, comme l’a autorisé la justice.
En novembre 2016, plus de 30 000 personnes ont été expulsées, mais beaucoup ont reconstruit, malgré la pression des autorités pour les en empêcher.
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