Mondial-2018: bons baisers de Russie

Mondial-2018: bons baisers de Russie
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Anecdotes et insolites du Mondial-2018 en Russie (jusqu'au 15 juillet): . Kroos règle ses comptes "On a l'impression que beaucoup de gens en Allemagne auraient été contents si on avait été éliminés aujourd'hui (samedi soir), mais nous n'allons pas leur faire ce plaisir si facilement": Toni Kroos, dont le but au bout du temps additionnel contre la Suède (2-1) a sauvé la Mannschaft d'un retour au pays précoce, a réglé ses comptes dans la foulée avec les journalistes et consultants qui avaient enterré les champions du monde après leur défaite face au Mexique (1-0). "Je ne parle pas des supporters qui vont dans les fan zones en Allemagne (...) Tous ceux qui parlent, ces experts, et tous ceux qui écrivent sur nous peuvent penser qu'ils ont raison, mais moi j'ai l'impression que c'est plus amusant d'écrire ou de dire du mal de nous que le contraire". Marco Reus, auteur du premier but allemand et désigné homme du match, a abondé dans son sens: "Je suis d'accord avec Toni, beaucoup de monde voulait nous voir éliminés au premier tour, mais le match a montré que nous avons toujours cru en nous". . Cherchesov lit les tatouages "Mes joueurs sont tellement tatoués que j'ai de la lecture, plutôt que celle des journaux", a plaisanté le sélectionneur de la Russie Stanislav Cherchesov en touchant les bras couverts d'encre de son joueur Fedor Smolov, assis à côté de lui lors de la conférence de presse d'avant le match contre l'Uruguay. La presse locale a eu la dent dure avec la "Sbornaïa", incapable de gagner un de ses sept derniers matches de préparation, mais en mode rouleau compresseur depuis le début du tournoi. Smolov lui a "arrêté de lire les médias depuis le match contre la Turquie", le dernier avant le Mondial (1-1), et assure ne pas goûter de revanche: "Nous sommes les premiers à être heureux de notre réussite". . Pogba nie l'ennui Paul Pogba dit qu'il vit bien la réclusion du groupe. "On était préparé, on savait qu'on allait être à l'écart, on évite les personnes avec les caméras qui cherchent les joueurs, hein !", lance-t-il dans un sourire taquin en regardant les caméras de la salle de conférence de presse. "C'est une Coupe du monde, on sait qu'on doit rester concentré, on a nos proches au téléphone, ils viennent nous voir dans les matches, ça nous aide. La famille sera toujours là, même s'ils sont loin, en France, on sait qu'ils sont proches de nous". Mais l'ennui ? "On ne peut pas s'ennuyer avec Mendy, Mbappé, Dembélé et Kimpembe dans ma chambre, on ne peut que rigoler!", réplique-t-il. "On écoute de la musique, on danse, on joue à Football Manager, beaucoup". . "Des petits trucs avec Mourinho..." Interrogé sur sa saison, notamment en club avec Manchester United auprès de son entraîneur Jose Mourinho, Paul Pogba a répondu: "Il y eu des petits trucs avec Mourinho... ah, y a rien eu (rires). Ce sont des choses qui font grandir aussi. Je n'avais jamais eu de saison où j'étais titulaire et après on me met sur le banc. C'est le choix du coach, c'est son boulot, on accepte ça, je dois accepter, et la seule réponse, c'est sur le terrain". . Jouer en Chine? "Rien de négatif" La Chine, impasse pour la carrière d'un footballeur? La Belgique joue avec deux joueurs de la modeste mais rémunératrice Super League, Axel Witsel (Tianjian Quanjian) et Yannick Carrasco (Dalian Yifang), et le sélectionneur Roberto Martinez semble bien s'en accommoder. "C'était une inquiétude, que leur niveau puisse baisser en allant en Chine (...) Mais comme vous le voyez, les joueurs ont développé un état d'esprit plus fort, parce qu'ils deviennent des gros joueurs dans de gros projets. Je pense qu'il n'y a rien de négatif en allant jouer en Chine", a indiqué le technicien espagnol, après que son équipe a remporté ses deux premiers matches du tournoi.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Grand Chelem de Judo de Tbilissi : un podium dominé par des légendes du judo

Grand Chelem de Judo de Tbilissi : un podium dominé par la Géorgie

La Géorgie remporte l'or lors de la première journée du Grand Chelem de Judo à Tbilissi