N'Gapeth: "On n'a peur de rien"

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"On n'a peur de rien": Earvin N'Gapeth, le leader de l'équipe de France de volley-ball, a exprimé à l'AFP sa sérénité avant le Final Six de la Ligue des nations qui débute mercredi au Stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d'Ascq, près de Lille. QUESTION: Comment abordez-vous la compétition ? REPONSE: "On se sent très bien physiquement et dans les têtes. On a été chanceux car on est resté en Europe cette saison. Mais les saisons précédentes on ne s'est jamais plaint quand on enchaînait des déplacements au Japon, en Australie, en Corée du Sud ou au Brésil. Du coup ça a été moins difficile physiquement et au niveau de la récupération. Et le repos après la fin de la première phase a fait du bien pour recharger les batteries après cinq week-end intenses. On a pu retrouver les amis, la famille et ça fait du bien avant de rentrer dans le dur." Q: Même si vous étiez qualifiés d'office, vous avez achevé la première phase en tête. Etait-ce important ? R: "C'était très important pour nous de se qualifier sportivement car on tenait à bien préparer ce Final Six. L'avantage d'être qualifié, c'est que ça nous a permis de faire beaucoup tourner et de faire participer tout le groupe. Et on a terminé premier donc ça prouve la valeur de l'équipe. Cela a montré à tout le monde qu'on avait bien travaillé et cela permet d'arriver en confiance." Q: Quel est votre objectif ? R: "On va prendre match après match car ça va être très dur. On ne veut pas déjà se projeter sur une éventuelle demi-finale ou une finale. On a déjà un très gros morceau pour notre premier match avec le Brésil et on connait l'importance de la première rencontre dans cette compétition. Après, évidemment, on vise toujours le podium quand on dispute une compétition. Donc remporter une médaille serait bien, gagner serait encore mieux !" Q: Quel est le favori de ce Final Six selon vous ? R: "Je pense que c'est le plateau le plus relevé de ces quatre dernières années donc c'est très dur à dire. Il y a six équipes qui sont capables de gagner. Toutes les équipes se tiennent et ont énormément de qualités. Ca va se jouer sur des détails. Il faudra être à notre meilleur niveau et ne pas calculer." Q: Pour la première fois, vous disputerez le Final Six à domicile. Est-ce un gros avantage ? R: "On est très très heureux. Même si l'objectif premier cette saison c'est le Mondial en septembre, le fait que ce Final Six se déroule en France fait que ça devient automatiquement un objectif principal, et c'est très important pour le volley-ball français. C'est toujours mieux de jouer devant son public, mais ce n'est pas une garantie de succès. L'an dernier on a gagné face au Brésil qui jouait devant 25.000 supporters. C'est à double tranchant car il y aura aussi un surplus de pression. Mais on est très motivé et on n'a peur de rien." Propos recueillis par Nicolas BLASQUEZ

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