Euro-2018 de gymnastique: un trio d'ambitieuses

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Emmenée par la championne d'Europe en titre du saut de cheval, Coline Devillard, l'équipe de France féminine porte les principaux espoirs de médaille de la gymnastique tricolore aux Championnats d'Europe, à partir de jeudi à Glasgow.

Au premier jour de cette édition inaugurale des Championnats européens multisports, les gymnastes françaises feront ainsi partie des premiers athlètes à entrer en lice, en qualifications. Non sans ambition.

Avec, outre Devillard (17 ans), deux autres médaillées européennes dans leurs rangs, Marine Boyer (18 ans), en argent à la poutre en 2016, et Mélanie de Jesus dos Santos (18 ans), en bronze au concours général l'année dernière, les Bleues aspirent à remonter sur le podium par équipe samedi, comme il y a deux ans (bronze). Leur prêteront main forte Juliette Bossu et Lorette Charpy.

Nouveau DTN de la gym française après avoir mené la boxe tricolore vers les sommets aux JO-2016, Kévinn Rabaud attend également une médaille en finale individuelle par agrès dimanche.

Si la Grande-Bretagne, à domicile, sera affaiblie par l'absence des soeurs Downie, Elissa (opérée d'une cheville au printemps) et Rebecca (touchée à l'entraînement à la dernière minute jeudi), seront au rendez-vous la championne olympique en titre de la poutre et la championne du monde en titre du même agrès, la Néerlandaise Sanne Wevers et l'Allemande Pauline Schäfer, la championne d'Europe du sol, la Russe Angelina Melnikova, ou encore celle des barres asymétriques, la Belge Nina Derwael.

- Sans Aït Saïd -

Les messieurs, eux, devront patienter une semaine supplémentaire avant de se mesurer aux agrès.

En l'absence du champion d'Europe 2013 des anneaux, Samir Aït Saïd, qui souffre d'une épaule, la meilleure chance tricolore est incarnée par Cyril Tommasone, spécialiste du cheval d'arçons, qui avait terminé au pied du podium aux JO-2016. Le Lyonnais, qui vient de fêter ses trente ans, aura fort à faire face au double champion olympique 2016 (sol et cheval d'arçons, aussi médaillé de bronze du concours général individuel) Max Whitlock, très attendu devant son public. D'autant qu'il lui faudra surmonter le souvenir de deux éliminations dès les qualifications aux Championnats d'Europe puis aux Mondiaux en 2017.

La gym masculine française n'est plus montée sur un podium international depuis 2015 (argent européen pour Aït Saïd aux anneaux).

Grandissime favori aux anneaux, le Grec Eleftherios Petrounias, champion olympique et double champion du monde en titre, visera lui un quatrième sacre continental consécutif, à 27 ans.

Parmi les absents, deux gymnastes de marque : l'Ukrainien Oleg Verniaiev, champion olympique en titre des barres parallèles, et le vétéran roumain Marian Dragulescu, 37 ans, multimédaillé olympique, mondial et européen.

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