Suppressions de postes au ministère des Sports: "une base de discussion", assure Griveaux

Benjamin Griveaux à l'Elysée le 5 septembre 2018
Benjamin Griveaux à l'Elysée le 5 septembre 2018 Tous droits réservés ludovic MARIN
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a affirmé dimanche que le chiffre de 1.600 suppressions de postes au ministère des Sports, avancé dans une lettre de cadrage de Matignon, était à ce stade "une base de discussion", qui donnera lieu à "un échange".

"C’est une base de discussion, à l’évidence, et après c'est dans la discussion qui se fera avec le Premier ministre que les choses se stabiliseront", a déclaré M. Griveaux lors de l'émission BFM Politique (BFMTV, Le Parisien), rappelant que le projet de loi de finances "complet" serait présenté "à la fin du mois".

La nouvelle ministre des Sports, Roxana Maracineanu, a promis dimanche de chercher d'autres solutions après la publication, qu'elle a jugée "très brutale", de la lettre de cadrage de Matignon qui demande de supprimer 1.600 postes dans son ministère.

"On n'est pas dans des décisions qui viennent d'en haut et que les ministres appliquent de manière uniforme, il y a un échange, il y a des positions qui peuvent bouger", a affirmé M. Griveaux.

"On a fait le choix d'avoir des ministres qui viennent de la société civile (...) Nous, on assume d’avoir des gens qui connaissent les dossiers, qui connaissent la réalité du terrain et donc je pense qu'ils prendront les meilleurs arbitrages", a-t-il poursuivi.

"Ce que j’entends de la réaction de Roxana Maracineanu, c’est que d’abord elle connaît bien le milieu du sport et on sait que sans doute le sport français a besoin d'avoir des décisions qui sont prises au plus près du terrain et peut-être un peu moins dans des administrations centrales à Paris", a encore déclaré le porte-parole du gouvernement.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Judo : Riner sacré pour la huitième fois à Paris, Romane Dicko également en or

Clarisse Agbégnénou décroche sa septième victoire au Grand Chelem de Paris

Judo : avec trois médailles d'or à son actif, la France a brillé au Grand Slam de Paris