Mondial de rugby 2023: les villes hôtes veulent un accord "équilibré" avec les organisateurs

Le maire de Lyon Georges Képénékian après son élection le 17 juillet 2017
Le maire de Lyon Georges Képénékian après son élection le 17 juillet 2017 Tous droits réservés ROMAIN LAFABREGUE
Par AFP
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Le maire de Lyon Georges Képénékian, qui préside le club des villes accueillant la Coupe du monde de rugby 2023, a réclamé vendredi un accord "équilibré", notamment sur le plan financier, avec le comité d'organisation.

Le schéma de l'Euro 2016 de football "n'est pas reconductible tel quel. Il faut que les choses soient équilibrées", notamment sur la question de "l'héritage" financier, a relevé M. Képénékian.

"Toutes les questions sont sur la table", a-t-il ajouté, après avoir reçu le directeur général du Groupement d'intérêt public (GIP) France 2023 Claude Atcher.

Ce dernier a assuré être "d'accord sur les grands principes" avec les villes hôtes. "Je n'ai aucun doute qu'on va arriver assez facilement à un accord", a-t-il indiqué, en rappelant que, "dans GIP, il y a le mot +public+".

Les responsables faisaient écho à l'insatisfaction de certaines villes ayant accueilli l'Euro de football 2016, qui avaient dû consacrer des sommes importantes pour assurer la sécurité de la manifestation, alors que ses substantiels bénéfices avaient été captés par l'UEFA organisatrice.

Selon le responsable du comité d'organisation, Lyon, qui dispose d'un stade de plus de 50.000 places, accueillera certaines des "plus grosses affiches" de la compétition (septembre-octobre 2023). "On va discuter de la capacité de Lyon à accueillir deux quarts de finale en un weekend", a dit Claude Atcher.

M. Atcher a par ailleurs indiqué que toutes les villes accueillant la Coupe du monde recevront des matches de haut niveau d'ici 2023. Pour Lyon, ce sera un match de l'équipe de France et deux demi-finales de Top 14.

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