Un nouveau cas relance le débat sur le dopage au Kenya

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Par Pierre Michaud
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Vainqueur du marathon d'Athènes 2017, Samuel Kalalei est le dernier d'une longue séie d'athlètes kenyans épinglés pour dopage ces 6 derniers mois.

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Samuel Kalalei relance la polémique sur l'existence d'un dopage "institutionnalisé" dans le sport kenyan. Le marathonien de 23 ans vient d'écoper de 4 ans de suspension pour un test positif à l'EPO, en avril, à Rotterdam.

Le rôle des managers étrangers est de plus en plus pointé du doigt. Vainqueur du marathon d'Athènes en 2017, Kalalei faisait partie de la structure Golazo, du superagent de l'Afrique de l'Est, le Belge Marc Corstjens.

Ces six derniers mois, trois pointures de l'athlétisme kenyan et appartenant à l'écurie du manager ont été épinglé : Celliphine Chespol, prodige du steeple, et Ruth Jebet, la star de la discipline. L'une pour avoir refusé un contrôle, l'autre pour usage d'EPO. En août dernier, c'est Kipyegon Bett, médaillé de bronze sur 800m aux derniers Mondiaux, qui refusait à son tour de se soumettre à un contrôle antidopage.

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