Malaisie: le procès des deux meurtrières présumées de Kim Jong Nam reporté à janvier

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Par AFP
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Le procès des deux femmes accusées d'avoir assassiné le demi-frère du dirigeant nord-coréen Kim Jong Un reprendra en janvier et non pas en novembre, un avocat de la défense étant tombé malade, a-t-on appris de source

judiciaire.

Siti Aisyah, originaire d'Indonésie, et Doan Thi Huong, du Vietnam, sont accusées d'avoir tué Kim Jong Nam en lui jetant au visage un agent neuro-toxique VX, à l'aéroport de Kuala Lumpur e février 2017, un acte digne de la guerre froide qui avait eu un retentisssement mondial.

Les deux femmmes rejettent les accusations pesant contre elles, assurant qu'elles ont été piégées par des agents nord-coréens et qu'elles pensaient participer à une farce pour un jeu télévisé.

Mais pour le parquet, les deux accusées savaient parfaitement ce qu'elles faisaient et avaient été soigneusement préparées pour commettre leur acte, digne, selon les procureurs, d'un film de James Bond.

Siti Aisyah et Doan Thi Huong avaient comparu devant la justice en octobre 2017, huit mois après les faits, mais le nombre important des témoins notamment a entraîné des lenteurs dans la procédure.

Le procès devait reprendre en novembre mais il a été reporté au 7 janvier car un avocat de la défense, Gooi Soon Seng, est tombé malade, selon un autre avocat de la défense, Kulaselvi Sandrasegaram.

Les deux accusées, toutes les deux la vingtaine, sont passibles de la peine de mort par pendaison. Le nouveau gouvernement malaisien s'est cependant engagé à abolir la peine capitale pour tout type de délits.

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