Euro de patinage artistique: "On se sentait vraiment en contrôle", déclare Gabriella Papadakis

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"On se sentait vraiment en contrôle de ce que l'on faisait", a apprécié Gabriella Papadakis, qui a décroché avec Guillaume Cizeron une cinquième titre européen consécutif en danse sur glace, samedi à Minsk, devenant les premiers à réaliser pareille performance.

Q: Au-delà de votre cinquième titre européen consécutif, qu'avez-vous le plus apprécié de cette deuxième semaine de compétition internationale dans votre saison ?

Gabriella Papadakis: "Le souvenir que l'on avait de notre passage ici il y a sept ans (pour les Mondiaux juniors en 2012, NDLR), et c'est toujours le cas, c'est que la patinoire est très grande et le public est vraiment là. Il est chaleureux. C'est vraiment agréable et ça change la donne, si l'on compare à un public pas très présent. C'est super important pour nous de savoir que l'on fait quelque chose pour un public."

Guillaume Cizeron: "Ça fait partie des plus grandes arenas. C'est un peu impressionnant au début. Ça ne change rien sur la façon de patiner, parce que l'on ne regarde pas trop haut. Une fois que l'on est dans notre performance, on ne pense pas trop à cela. Mais le bruit que ça fait et l'ambiance que ça créé, ça nous aide à être présents et à apprécier ce moment-là. A chaque fois, c'est toujours un challenge. Il faut garder le titre, réaliser notre performance. On n'a pas le droit à l'erreur. Rien n'est jamais acquis. Le public nous supporte parce qu'il nous connait depuis quelques années maintenant. Lors de grands événements comme celui-là, ça nous permet de passer un moment encore plus spécial."

Q: Comment appréciez-vous le libre d'aujourd'hui pour lequel vous avez amélioré votre meilleur score de la saison ?

Gabriella Papadakis: "Il y a toujours un petit stress, mais on s'est bien senti. On se sentait vraiment en contrôle de ce que l'on faisait."

Q: La prochaine échéance ce seront les Mondiaux à Saitama dans deux mois. Vous savez déjà à quoi vont ressembler les prochaines semaines à l'entraînement à Montréal ?

Guillaume Cizeron: "On va étudier les scores et voir où est-ce que l'on peut avoir une marge de progrès. Et puis continuer à faire grandir les programmes. Pour nous, ce n'est que la deuxième compétition de la saison, on est encore assez frais, on a encore envie de travailler sur ces programmes et d'aller encore plus loin."

Propos recueillis par Thomas BACH.

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