XV de France: la déroute en Angleterre, un "traumatisme" pour Poirot

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La déroute subie en Angleterre (44-8) le 10 février constitue "un traumatisme" et "une des plus grosses hontes rugbystiques" de la carrière de Jefferson Poirot, a-t-il déclaré jeudi à trois jours d'aller défier l'Irlande dans le Tournoi des six nations.

Interrogé par la presse à Marcoussis (Essonne) sur le fait de savoir si les Bleus, après leur victoire contre l'Ecosse lors de la précédente journée (27-10), étaient à l'abri à Dublin dimanche d'une même raclée que celle subie à Twickenham, le pilier gauche a répondu: "J'espère parce que c'est un traumatisme. Après s'être fait, pardonnez-moi l'expression, botter le cul en Angleterre, la moindre des choses c'était de gagner contre l'Ecosse."

"A titre personnel, c'est une de mes plus grosses hontes rugbystiques" a ajouté le joueur de l'UBB (26 ans, 25 sél.), vainqueur de l'Irlande pour sa première titularisation, en février 2016 (10-9 au Stade de France).

"Cela avait été un dur combat pendant 80 minutes, très serré, comme en 2018 (15-13 pour l'Irlande, NDLR). J'avais l'impression d'être passé dans une machine à laver, j'étais +en huit+, c'était ma deuxième sélection, je sais ce qui nous attend dimanche" s'est-il souvenu.

Le revers de l'an passé au Stade de France face au XV du Trèfle, sur un drop de Jonathan Sexton après la sirène, représente justement "un moment horrible".

"Très honnêtement on avait été dominés, la victoire de l'Irlande n'est pas un scandale, mais la fin était malheureuse. Il y avait beaucoup de regrets, des nuits où on n'a pas dormi correctement" a-t-il développé.

Poirot espère que cette défaite aidera le XV de France à aller chercher la victoire dimanche à Dublin, où il n'a jamais joué: "Cela nous permet d'avoir ce petit truc, de se dire qu'on n'est pas passé si loin, ça s'était joué sur des détails. A nous de maîtriser notre match, on avait l'occasion de passer à +4 (pénalité manquée avant le drop de Sexton, NDLR) et on ne passe pas."

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