Mondial-2019: "Ca pique" pour les Bleues qui s'entraînent à haute dose

Les Bleues à l'entraînement, le 15 mai 2019 à Clairefontaine
Les Bleues à l'entraînement, le 15 mai 2019 à Clairefontaine Tous droits réservés FRANCK FIFE
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"Ca commence à tirer", "ça pique"... sur le pont dès 7 heures du matin, les Bleues s'entraînent dur à Clairefontaine, à une vingtaine de jours du Mondial à domicile où elles seront très attendues (7 juin - 7 juillet).

"C'est la deuxième fois qu'on a trois entraînements par jour (7h, 10h30, 17H). Le réveil est difficile, mais après on se met très vite dans le bain, parce que c'est un effort physique de haute intensité", explique la défenseure de Montpellier Marion Torrent, devant la presse jeudi.

L'équipe de France se prépare sans les Lyonnaises, qui disputent la finale de Ligue des champions contre Barcelone samedi et rejoindront le reste de l'effectif mardi prochain.

En attendant, le staff a réservé aux joueuses une intense préparation physique. "C'est un cadre très rigoureux", reconnaît Marion Torrent sans perdre le sourire.

"Oui, ca commence à tirer (...). Même si on est habitué, quand on enchaîne comme ça ça pique toujours autant", abonde la latérale du PSG Eve Perisset. Mais "on est conditionné pour faire ce genre d'entraînement. On a confiance dans le staff, on sait qu'on a besoin de passer par là pour être prêtes le 7 juin", coup d'envoi de cette Coupe du monde, face à la Corée du Sud au Parc des Princes.

Durant les journées un peu moins chargées, les joueuses de Corinne Diacre se détendent aussi grâce à des activités plus conviviales. Là "on est sur du molkky (un jeu de quilles en bois venu de Finlande, entre pétanque et bowling), c'est des bâtons avec des numéros, c'est très sympa", rigole Marion Torrent.

Une manière d'évacuer la pression ? "La pression monte crescendo, la hâte aussi, mais à l'heure actuelle on est quand même sur un objectif de préparation pour arriver le jour J en pleine bourre", répond la Montpelliéraine.

L'objectif affiché par les Bleues, qui n'ont jamais remporté le moindre grand titre, est d'atteindre la finale du 7 juillet à Lyon. Elles affrontent au premier tour la Corée du Sud (7 juin), la Norvège (12 juin) et le Nigeria (17 juin).

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