Rennes: Stephan mécontent du silence de sa direction après les critiques de Ben Arfa

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L'entraîneur rennais Julien Stephan a regretté jeudi les critiques formulées dimanche par son milieu de terrain Hatem Ben Arfa sur le jeu qu'il prône pour son équipe, mais aussi le fait que sa direction ne soit pas intervenue pour défendre l'unité de groupe.

"Il est libre de penser ce qu’il veut, même si je remarque qu’à plusieurs reprises, ces dernières semaines, il a dit tout le contraire", a notamment déclaré le jeune coach en conférence de presse au sujet du milieu offensif.

"On n'est pas assez ambitieux, on est peureux (...) il faut qu'on nous transmette des choses pour aller attaquer, pas pour défendre notre but à chaque fois", avait déclaré HBA après le nul contre Guingamp (1-1).

"Ce sont des propos qui peuvent diviser un vestiaire et qui ne sont pas sans conséquences parce qu’ils ne sont pas partagés par les joueurs (...) Et donc je regrette que ça mette à mal l’unité collective", a déploré Stephan.

Interrogé sur l'absence de réaction du président Olivier Létang, très proche d'Hatem Ben Arfa et qui n'hésite pourtant jamais à intervenir, Stephan s'est contenté d'un: "En tout cas, ça m’interpelle parce qu’encore une fois, ça met l’unité collective à mal, et moi je mets l’unité collective par dessus tout".

"Je m’interroge", a-t-il même poursuivi. Sur son avenir, alors qu'il est sous contrat puisqu'il n'a pas prolongé malgré la première victoire en Coupe de France depuis 48 ans obtenue contre le Paris SG ?

Tout en assurant n'avoir "eu aucune approche d’autres clubs" --"je ne suis pas dans cet état d’esprit", a-t-il même spécifié-- il a tenu à remettre les points sur les "i".

"Pour un entraîneur, la notion de soutien est fondamentale (...) Quand on me demande de reprendre l'équipe en décembre, quand je prends un projet, c’est que j’estime que je peux le mener à bien. Si des raisons m’emmènent à penser que ce ne sera pas le cas, alors il faut réfléchir", a-t-il conclu en guise d'avertissement à son club.

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