Bleues: Amandine Henry a "envie de vivre les mêmes émotions" que les garçons en 98

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L'équipe de France féminine "a envie de vivre les mêmes émotions" que les garçons sacrés champions du monde à domicile en 1998, a assuré la capitaine Amandine Henry jeudi à la veille du match d'ouverture du Mondial-2019 en France, vendredi (21h00) au Parc des Princes.

Est-ce un rêve de voir le Mondial-2019 féminin connaître le même dénouement que le Mondial-1998 masculin devant le public français ? "Oui forcément ! Je suis de la génération 1998, j'ai de beaux exemples en tête, notamment Zinédine Zidane", a confié Amandine Henry, 29 ans, jeudi lors de la conférence de presse d'avant-match contre la Corée du Sud.

Ce dernier "a été le joueur de la Coupe du monde, mais tous les joueurs nous ont fait rêver". "On a envie de vivre les mêmes émotions", a-t-elle ajouté. Pour l'instant c'est un rêve éveillé mais (vendredi) il ne va pas falloir rêver mais être présente !"

Le Mondial-2019 féminin sera le 6e tournoi international majeur organisé en France après le Mondial-1938, l'Euro-1960 (demi-finales et finale), l'Euro-1984, le Mondial-1998 et l'Euro-2016, uniquement des compétitions masculines.

La Coupe du monde féminine aura lieu du 7 juin au 7 juillet dans neuf villes hôtes: Grenoble, Le Havre, Lyon, Montpellier, Nice, Reims, Rennes, Valenciennes, et Paris.

Est-ce du stress ou de la fierté de pouvoir fouler la même pelouse que les stars du PSG ? "Je me fais un petit film dans ma tête pour (vendredi) : un stade plein, belle performance, avec de belles émotions. Je ne sais pas comment cela va se passer mais je pense que cela va être un bel événement, ancré dans nos mémoires", a répondu Amandine Henry.

"En tant que capitaine et joueuses expérimentée, j'ai le devoir de mettre tout e le monde à l'aise. Les joueuses sont bien dans leur tête. Franchement, on s'est bien préparées", a-t-elle ajouté.

Les Bleues, jamais titrées dans leur histoire, n'ont pas dépassé le stade des quarts de finale lors des trois dernières compétitions majeures.

Le déclic tant attendu aura-t-il enfin lieu à domicile ?

"Rien ne me permet de dire que la France va dépasser les quarts et faire mieux que 2011 (demi-finale). On a cette ambition par contre. Je pense qu'il faut y aller étape par étape. Il faut sortir de la poule déjà, rester sérieuse et humble", a prévenu la sélectionneuse Corinne Diacre.

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