Des milliers de familles vivent sur le bitume, sur les trottoirs ou dans les champs à Lesbos depuis les gigantesques incendies de mardi et mercredi ayant détruit le centre d'enregistrement et d'identification de Moria, sans faire de victimes.
Mis en place en 2015 pour limiter le nombre de migrants venant de la Turquie voisine à destination de l'Europe, ce centre abritait plus de 12 000 personnes dont 4 000 enfants, soit quatre fois plus que sa capacité initiale.
Les autorités grecques ont assuré dimanche que le nouveau camp, destiné à accueillir des demandeurs d'asile à la rue après les incendies serait prêt "dans cinq jours".
Le camp de Moria a été mis en place en 2015 pour limiter le nombre de migrants venant de la Turquie voisine à destination de l'Europe. Ces dernières années, le manque d'hygiène et le surpeuplement du camp ont été critiqués par les ONG de défense des droits des réfugiés, qui appellent régulièrement les autorités grecques à transférer les demandeurs d'asile les plus vulnérables vers le continent.
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