Le concept fait fureur à Téhéran. Un restaurant aux allures de prison reçoit des centaines de clients.
S'ils viennent bien sûr pour manger, c'est surtout l'autre objectif du projet qui les motive : une partie des recettes du restaurant est utilisée pour aider à libérer ceux qui sont derrière les barreaux pour des dettes impayées.
La loi iranienne est très sévère à l'égard des chèques sans provision et du non-paiement des dots ou des prêts bancaires : c'est la prison jusqu'à ce que l'argent soit remboursé.
Selon les autorités pénitentiaires, plus de 11 000 Iraniens sont derrière les barreaux pour n'avoir pas payé leurs dettes. Cela représente près de cinq pour cent de la population carcérale totale de l'Iran.
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