Oleksandra Vakulina revient sur les craintes générées par les orientations du gouvernement conservateur britannique sur les marchés, avec la chute de la livre, et dans le monde des affaires.
Brexit veut dire Brexit : Theresa May l’a maintes fois répété au sujet du référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union européenne.
Nous invoquerons l'article 50 au plus tard fin mars, l'an prochain.
Première Ministre britannique
Mais que signifie cette phrase ?
Quelques mois après le vote décisif, la Première ministre britannique a donné plus de détails.
Elle a fixé une date butoir pour enclencher le processus de sortie de l’Union – cela se fera en mars prochain. Une fois l’article 50 invoqué, le Royaume-Uni aura deux ans pour négocier un nouvel accord avec l’Union.
I want to be absolutely clear. There will be no unnecessary delays in invoking Article 50. pic.twitter.com/xSmfzhiGTn
— Theresa May (@theresa_may) 2 octobre 2016
En attendant, la livre sterling creuse ses pertes alors que les investisseurs font le pari d’un Brexit dur, soit d’une rupture totale avec le marché unique européen.
Pound slumps to 168-year low https://t.co/I5GOeanLbj
— Financial Times (@FinancialTimes) 12 octobre 2016