Oleksandra Vakulina fait le point sur les marches des femmes du week-end dernier et sur les discriminations économiques dont elles sont toujours victimes.
Des millions de personnes sont descendues dans la rue à travers le monde le week-end dernier, au lendemain de l’investiture de Donald Trump comme 45ème président des Etats-Unis d’Amérique.
YOU did this. KEEPSHOWING UP. (Repost: Avery Jones) pic.twitter.com/JZnNjWoXo8
— Women's March (@womensmarch) 24 janvier 2017
La marche des femmes a attiré les foules dans 60 pays. Les organisateurs ont recensé plus de cinq millions de participants à travers le monde et plus d’un million à Washington, une des plus grandes manifestations qu’ait connu la capitale américaine.
Ces marches des femmes n‘étaient pas uniquement anti-Trump. Les organisateurs voulaient envoyer un message fort à la nouvelle administration comme au monde entier : les droits des femmes relèvent des droits de l’homme.
De nombreuses femmes aux Etats-Unis s’inquiètent de voir leurs droits reculer sous la présidence Trump. Pendant la campagne, il avait choqué en traitant sa rivale démocrate, Hillary Clinton, de “sale femme“ (Nasty woman), lors d’un débat télévisé.
Nasty (old) women are out here today #womensmarchonwashingtonpic.twitter.com/PrO5rTNVDc
— Alanna Vagianos (@lannadelgrey) 21 janvier 2017
Et au lendemain de la marche des femmes à Washington, il signait un décret interdisant aux ONG internationales touchant un financement public aux Etats-Unis d’offrir un service de conseil en matière d’avortement. Le tout, entouré d’hommes.
Proud to stand w/ President Trump signing EOs: withdrawing US from TPP, prohibiting int'l abortion funding & freezing hiring except military pic.twitter.com/PaHV2XGoAv
— Vice President Pence (@VP) 23 janvier 2017
Dans cette édition, nous faisons le point sur la situation économique des femmes en Europe.