Netanyahu à Moscou pour évoquer "la menace iranienne"

Netanyahu à Moscou pour évoquer "la menace iranienne"
Par Euronews
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

La crise syrienne était au coeur d'une rencontre entre Vladimir Poutine et le Premier ministre israélien.

PUBLICITÉ

La crise syrienne était au coeur d’une rencontre ce jeudi au Kremlin entre Vladimir Poutine et Benjamin Netanyahu. Le Premier ministre israélien est venu exprimer les inquiétudes de l’Etat hébreu quant à une éventuelle implantation militaire permanente de l’Iran dans la région à l’issue du conflit.

#Netanyahu parle menace “perse”, histoire ancienne répond #Poutinehttps://t.co/c9T3jy7uJQpic.twitter.com/BlmQ28a4ty

— L'Orient-Le Jour (@LOrientLeJour) 9 mars 2017

Benjamin Netanyahu a tenu à rappeler au président russe la menace que représentait l’Iran pour la sécurité d’Israël :

“Israël n’est pas contre un accord en Syrie. Mais nous nous opposons fermement à la possibilité que l’Iran et ses mandataires puissent maintenir une présence militaire en Syrie.”

Principal allié du régime de Bachar-al Assad, avec la Russie, l’Iran est présent sur le terrain militaire syrien à travers les milices chiites, dont le Hezbollah libanais, qui étaient notamment en première ligne dans la bataille d’Alep, reprise aux rebelles. Des commandants du corps des Gardiens de la révolution ont également été envoyés comme conseillers auprès de l’armée syrienne.

Selon un responsable iranien plus de 2.000 combattants envoyés par le régime ont été tués en #Irak et en #Syrie.#Iranpic.twitter.com/LuYbsWbcJ2

— Iranalyse (@iranalyse) 7 mars 2017

Avec AFP

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Ukraine : Macron va proposer une trêve lors des JO, Poutine “prêt à examiner toutes les questions"

Vladimir Poutine prolonge son règne après la répression la plus sévère depuis l'ère soviétique

Dimanche à midi, des opposants à Poutine ont voté en groupe, 65 électeurs ont été interpellés