Edouard Philippe au sénat : forte abstention

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Par Maxime Biosse Duplan
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Le Premier ministre français, après sa déclaration de politique générale adoptée mercredi par l'assemblée nationale, est venu présenter l'acte II du quinquennat à la chambre haute.

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Edouard Philippe devant les sénateurs. Le Premier ministre français, après sa déclaration de politique générale adoptée mercredi par l'assemblée nationale, est venu présenter l'acte II du quinquennat d'Emmanuel Macron à la chambre haute.

Avec pour axes principaux toujours, l'écologie et la décentralisation.

Edouard Philippe :"Répondre à l'urgence écologique est le premier axes de notre feuille de route. j'ai présenté hier mon plan de bataille pour les prochains mois : nous allons accélérer la transformation environnementale de notre économie et de nos transports, rendre plus accessibles et plus incitatives les aides à la rénovation énergétique, en finir avec un consumérisme qui consiste à jeter, à gaspiller avec une insouciance inconsidérée, et qui met en danger la qualité de notre alimentation et de la biodiversité. (...)

Beaucoup de villes, comme Cahors, Douai, Limoges, Vierzon, Vesoul, Autun, Mantes, restent des villes à taille humaine, dynamiques, mais restent fragilisées par la déprise démographique, l'attraction des grandes métropoles et le départ de certains services publics. Notre programme "Action Coeur de Ville" contribuera bientôt à renouveler le paysage urbain de 222 de ces villes dans toutes nos régions".

Pour ce vote, qui n'engageait pas la responsabilité du gouvernement, le sénat, tenu par l'opposition, s'est massivement abstenu. 71 sénateurs ont voté pour, 93 contre, et 181 se sont abstenus.

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