Le cauchemar des proches des otages

Ethan, 12 ans, un des otages des terroristes du Hamas
Ethan, 12 ans, un des otages des terroristes du Hamas Tous droits réservés Screenshot
Tous droits réservés Screenshot
Par Euronews avec AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article :Copy to clipboardLien copié

Au moins 130 personnes prises en otage par les terroristes du Hamas et du Djihad islamiques. Leurs proches vivent un cauchemar d'inquiétude et appellent à l'aide leurs gouvernements.

PUBLICITÉ

Au moins 130 personnes ont été enlevées par les terroristes du Hamas et du Djihad islamiques.

Les otages sont détenus à Gaza où les frappes de Tsahal sont ininterrompues et réduisent en cendres tout ce qui, selon Israël, est en lien avec le Hamas.

De nombreux otages sont Israéliens ou détiennent une double nationalité.

Leurs proches vivent un cauchemar d'inquiétude.

Lior Katz-Natanzon, dentiste, du kibboutz Nir Oz : "Je ne peux pas y penser trop longtemps, car je vais m'effondrer en morceaux. Je veux ma mère, je veux ma sœur, mes nièces, je veux qu'ils soient ici. Je ne comprends pas comment ce cauchemar a pu arriver."

Ethan a 12 ans. Il est français et samedi dernier, il était avec sa sœur à quelques centaines de mètres de la frontière avec la bande de Gaza quand des hommes en armes du Hamas sont arrivés en moto.

La sœur et la mère d'Ethan ont réussi a s'échapper, le petit garçon reste introuvable, il a sans doute été enlevé.

Ayala Yahalomi Luzon, tante d'Ethan : "La moto avec sa mère a été arrêtée, et celle avec Ethan est passée. À partir de ce moment-là, nous ne savons rien. C'était le dernier contact visuel que sa mère a eu avec Ethan. Ils étaient en pyjama, c'est ainsi qu'ils les ont emmenés."

Plusieurs familles bi-nationales, détentrices de passeports israéliens et américains, appellent à l'aide leurs gouvernements.

Ayana Neta, fille d'Adrienne enlevée par le Hamas : "Ma mère est un être humain exceptionnel. Elle a passé la majeure partie de sa vie d'adulte en tant qu'infirmière dans la communauté, puis en tant que sage-femme à l'hôpital. Quand elle entrait dans une salle d'accouchement, elle voyait un être humain devant elle. Pas une religion. Pas une race."

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Israël - Hamas : les États-Unis pressent pour un accord de trêve

Des frappes aériennes israéliennes sur Rafah ont fait au moins 22 morts (source palestinienne)

Israël - Hamas : Netanyahou redoute un mandat d'arrêt