Le suédois Bo Andersson, premier étranger à la tête du constructeur automobile russe Avtovaz, a été contraint à la démission. Dans la foulée de la
Le suédois Bo Andersson, premier étranger à la tête du constructeur automobile russe Avtovaz, a été contraint à la démission.
Dans la foulée de la prise de contrôle du constructeur par Renault-Nissan en 2014, l’ancien militaire avait lancé des réformes brutales, voulant faire table rase du passé soviétique d’Avtovaz.
Bo Andersson a supprimé 13 000 postes, trop lui reprocheront certains.
Ces réformes ont payé : productivité et qualité sont en hausse.
Mais la récession a provoqué une chute des ventes en Russie, de l’ordre de 30 % en 2015.
L’an dernier, le constructeur a triplé ses pertes financières par rapport à 2014.