Après Lionel Messi ou Michel Platini, c’est au tour de Gianni Infantino, le nouveau président de la FIFA, de voir son nom apparaître dans les “Panama
Après Lionel Messi ou Michel Platini, c’est au tour de Gianni Infantino, le nouveau président de la FIFA, de voir son nom apparaître dans les “Panama Papers”.
Selon plusieurs médias, en 2006, celui qui est alors le directeur juridique de l’UEFA signe un contrat avec Cross Trading.
Cette société offshore installée dans une île du Pacifique Sud achète, moyennant 111.000 dollars, les droits de retransmission télévisée en Equateur de la Ligue des champions pour trois saisons.
Or, Cross Trading va faire une belle plus-value en les revendant pour 311.000 dollars, soit quasiment le triple.
Gianni Infantino n’a pas tardé à réagir via un communiqué : “je n’accepte pas, fait-il savoir, que mon intégrité soit mise en cause”.
Cette affaire n’en reste pas moins embarrassante pour un homme qui déclarait le 29 février dernier, lors de sa prise de fonctions, que “la corruption disparaîtrait grâce à la transparence financière”.