Devant la presse internationale, Dilma Rousseff contre-attaque. Pour la présidente brésilienne c’est la crise économique mondiale qui est à
Devant la presse internationale, Dilma Rousseff contre-attaque.
Pour la présidente brésilienne c’est la crise économique mondiale qui est à l’origine des remous politiques qui secouent son pays.
Une crise qui aurait conduit son gouvernement à un maquillage à grande échelle des comptes publics. Une accusation qu’elle conteste énergiquement.
“Si on devait évoquer l’argument économique pour destituer tous les présidents de la République, alors il n’y aurait plus de président de la République dans les pays développés”, a déclaré Dilma Rousseff, la présidente du Brésil.
Dimanche, 367 députés brésiliens se sont prononcés en faveur de la destitution de Dilma Rousseff pour cause de crime budgétaire.
La seconde manche se jouera au mois de mai prochain. Le sénat brésilien doit confirmer ce vote. Si tel tel est le cas Dilma devra alors quitter le pouvoir pendant un maximum de 180 jours.