Quelques heures avant la fin officielle de la campagne, les partisans du Brexit sillonnaient encore le pays.
PUBLICITÉLes partisans du Brexit ont fait campagne jusqu‘à la dernière minute pour convaincre les Britanniques de quitter l’Union européenne. Et à ce jeu-jà, Boris Johnson n’a pas ménagé sa peine. En avion ou en hélicoptère, mercredi, l’ex-maire de Londres a arpenté le pays pour haranguer les foules.
Aux Européens, il a développé dans une tribune, publiée notamment dans le quotidien “Le Monde”: http://abonnes.lemonde.fr/idees/article/2016/06/22/boris-johnson-les-britanniques-doivent-saisir-leur-chance-de-sortir-de-l-ue_4955429_3232.html, ses convictions. Son mantra ? “Il est temps que le Royaume-Uni reprenne le contrôle de son destin”.
Quoiqu’il en coûte.
Au sud du pays, le secrétaire d’Etat à la justice a lui aussi quadrillé le terrain. Mardi, Michael Gove avait comparé les experts qui dénoncent les risques du Brexit aux Nazis des années 30.
— Tony Agotha (@TonyAgotha) 21 juin 2016
Si jeudi les partisans du Brexit l’emportent, les Européens les ont déjà prévenu : il n’y aura pas de retour possible.
Quant aux négociations de sortie, elles, pourraient prendre des années.
Et si le #Brexit était voté, que se passerait-il le jour d'après ?
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Avec Agences